Ce n’est que tardivement que je me rendis compte du mal que ma sœur, Micheline, de 10 1/2 de plus que moi, me fit, en me décidant à additionner les faits :
Toutes les personnes de ma famille me tournent le dos
Au fil du temps je voyais bien que les gens me tournaient le dos les uns après les autres, mais je n’y prêtais pas attention… ma vie, assez remplie (comme vous pouvez les constater au fil de ce blog), m’occupait. Voici les faits que je me décide, enfin, à additionner :
Silence de ma sœur à mes courriers concernant la mort de son fils
Aucune réponse à mes courriers adressés à elle, tout particulièrement au sujet du la mort d’un de ses fils, sujet que j’ai traité ; la pomme de discorde étant que moi, devenue célibataire je prenais la pilule : « shocking ! » j’avais des relations sexuelles en dehors des liens du mariage, puisque divorcée !
Le remariage de mon père, que je n’ai pas relaté ici :
Un an après la mort de sa femme, ma mère, mon père chercha une nouvelle épouse, qu’il trouva et avec laquelle il ne s’entendit jamais (1). Elle, d’une vingtaine d’années de moins que lui, avait une fille d’une trentaine d’années. Je m’entendais très bien avec ces deux femmes, nous échangions sur tout, le plus souvent gaiement… puis un jour ces deux femmes ne m’adressèrent plus la parole… elles s’étaient rapatriées à Caen leur ville d’origine… mais nous aurions pu continuer à échanger…
Mes cousines,
que je montais voir à Reims, pour une affaire d’héritage bloqué, me faisaient « la gueule » j’en ignorais la cause…
Mon fils qui ne me parla plus,
comme par hasard, à partir du moment où ma sœur pris un pied à terre proche de chez lui, à Vanves. Alors que jusque là, et surtout durant les années d’apprentissage du métier de créateur typographique, mon fils et moi avions d’excellents échanges, du genre passionnés à propos de sa découverte de son don… moi ex-libraire, nous avions de quoi échanger…
Insultes de cousines lointaines :
Et un jour que, ayant ouvert un magasin d’artisanat de Thaïlande, je téléphonais, voulant communiquer mon plaisir à m’occuper de cette boutique, je téléphonais à plusieurs membres de ma famille : ils m’insultèrent… je n’en ai pas retenu les mots ni phrases exacte, sinon l’ambiance, qui furent des insultes…
Le silence de mon fils
La « fâcherie » avec tous les autres membres de ma famille m’indiffèrent assez, par contre je souffre quotidiennement du silence de mon fils dont je ne m’explique pas la « rationalité ».
Je finis par en attribuer la cause à ma sœur…
… cependant comment un fils qui a les meilleures relations avec sa mère (2), peut-il un jour « sans rimes ni raisons » tourner le dos à sa mère ?
Les autres « fâcheries » m’indiffèrent… mais mon fils c’est tout autre chose :
qu’est-ce que ma sœur, et son mari, ont-ils pu imaginer pour me démolir auprès d’un fils, majeur, marié, père, … et qu’il le prit au sérieux…
cela reste le plus grand mystère de ma vie, mais un mystère qui m’inflige une souffrance 24/24 depuis des années.
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(1) c’est un sujet que je n’ai pas encore traitée, j’en ferai un billet spécifique
(2) dont je n’ai pas ici encore relaté ses années d’apprentissage de son métier qui se fit dans la passion réciproque entre lui et moi sur les caractère de typographie… moi ex-libraire… !