Famille de ma sœur, Micheline : pratique du protestantisme intégriste

La pratique du calvinisme par la famille de ma sœur Mon beau-frère était protestant calviniste pratiquant, lisant la bible tous les soirs, et bien sûr allait au temple tous les dimanches avec ma sœur et leurs enfants. Il était contre toute contraception, sauf la méthode Ogino. Qui leur réussit si bien ! Ma sœur approuvait … Lire la suite

Famille de ma sœur, Micheline, fils dépressif : suicide ?

Je vais à Niort voir ma sœur début des années 1970 À partir de ma séparation, en 1970, d’avec mon mari, Jean-Jacques Porchez, je repris contact avec ma sœur, Micheline, en allant la voir à Niort où elle habite avec sa famille, avec Jean-François, mon fils, quand il ne passe pas l’été avec sa grand-mère … Lire la suite

Pulsions suicidaires et pulsions sexuelles 1970-1973

Envahie par deux pulsions : suicidaires et sexuelles Durant ces cinq années qui suivirent ma séparation d’avec mon mari je fus envahi par deux pulsions : pulsions suicidaires et pulsions sexuelles. Pulsions qui peuvent paraitre contradictoires puisque l’une est une pulsion de vie, la sexuelle, l’autre une pulsion de mort. Bien souvent certains hommes provoquaient … Lire la suite

Non Jean-Jacques Porchez on ne commande pas Annie Stasse

Tu étais né fils unique dans une famille composée de

  1. ta mère, qui travaillait au ministère de la santé, avenue de Ségur, face à son propre appartement
  2. ton père, originaire de Lyon, qui décédera quand tu avais 13 ans, et laissera un capital conséquent qui perdure encore ce jour, fructifié par ta mère, puis toi, son fils une fois adulte
  3. et ta grand-mère maternelle

J’étais née dans une famille composée de

  1. ma mère, femme au foyer
  2. mon père qui travaillait 24/24, bien qu’il aima jouir de la vie en sortant et voyageant
  3. et ma sœur de 10 1/2 de plus que moi

Cette place si différente dans chacune de nos familles nous inspira un caractère absolument opposé.

Ta grand-mère, pour laquelle j’eus la plus grande estime, te voyait comme exceptionnel, mais resta toujours lucide, par malheur pour tous, ton père mourut à l’orée de ton adolescence, il ne resta plus face à toi qu’une mère qui t’adorait.

C’est cette mère qui empêcha que ton caractère apprenne à tenir compte de l’autre : moi, ta femme, je n’étais là que pour obéir à chacun de tes désirs.

Pour ma part, je mis du temps à comprendre ce qui m’arrivait

J’étais habituée depuis ma plus petite enfance :

  1. que ma sœur veuille ma mort : elle ne comprit jamais qu’elle n’était plus la fille unique qu’elle fut 10 1/2 durant.
  2. ma mère n’avait pas désiré ma naissance, naitre en pleine guerre ne fut pas « idéal » !
  3. mon père ne comprit jamais que je n’étais pas née fils, mais fille : je n’existais pas à ses yeux.

La cerise sur le gâteau de notre couple était que j’avais toujours été libre… par indifférence ? par négligence ? Je raconte comment, à compter de l’âge de sept ans, on me mit « ailleurs ». je le raconte par énumération dans un billet dédié.

Sans doute, tu m’aimais… mais moi, j’étais dans l’incapacité de ressentir quelques sentiments d’amour que ce soit : je ne l’avais pas reçu enfant, je ne sus pas l’inventer, et me trouvais démunie face à toi, mais je mis du temps à réagir, car on m’avait formée pour être l’épouse d’un seul homme. Cette position de TA femme était idéale et normale pour toi, en fait ce n’est qu’à l’occasion de mon analyse que je ne pus entreprendre qu’une fois ma mère morte en janvier 1985, que tout se dévoila par mes cris, par mes hurlements de souffrance accumulée depuis mon enfance, voire ma naissance…

Dès que tu me connus, tu me commandas en tout :

  1. apprendre la politique d’extrême gauche, tendance de la jeunesse des années 1960
  2. en 1963 chercher un appartement et trouver l’appartement à ta convenance, mon avis n’avait aucun intérêt, et dans ma naïveté ce ne fut qu’à l’occasion de la recherche du second appartement en 1969 que je me révoltais.

1969

Six mois durant, tu dirigeas ma recherche, je n’avais aucun avis à donner : tu voulais un appartement en terrasse et en duplex. Ce fut très difficile à trouver et tu restais enfermé dans ton choix, mon goût ne comptait pas.

Concomitamment, je rencontrai Michel et je faillis jouir… mais il était encore trop tôt pour que mon corps se réveille enfin, je dus attendre un autre homme, mais surtout la fin de mon analyse en 1989.

C’est ainsi que par l’intervention de Marian Apfelbaum pour m’éloigner de mon domicile, il me força à réagir : je te quittais le jour de l’anniversaire de notre mariage, le 31 janvier 1971, sept ans jour pour jour après notre mariage.

Début d’une dépression ? ou d’une anorexie mentale ?

Rappel des derniers mots du billet précédent :

Une crise de pleurs m’envahis, je fuis dans la chambre, ne pouvant exprimer la raison de cette crise, qui me parait à moi-même excessive, mais je ne peux rien contrôler

Quelques invités, tous relations politiques, viennent m’y voir, je ne peux rien dire. Je pleure, c’est tout ce que je peux faire, puis je finis par annoncer que j’arrête de m’alimenter ; je ne bois que du thé et reste couchée plusieurs jours, à jeun.

Intervention d’une amie boulimique

Une amie, Françoise, atteinte de boulimie, vient me voir et me conseille de consulter un médecin spécialisé dans la nutrition : Marian Apfelbaum. Il exerce à Bichât, mais j’obtiens une consultation à son cabinet.

Ma vie sexuelle

Là commence un dialogue bref, mais qui me perturbe :

  • Depuis combien de temps avez-vous des problèmes avec votre alimentation ?
  • Depuis 1964.
  • La crise actuelle a commencé il y a quelques jours.
  • Quelle est votre vie sexuelle ?

Là, je me dis qu’il me pose une question sur un sujet qui ne le regarde pas, de quoi se mêle-t-il ? quel rapport avec mon alimentation ?

  • Je n’ai aucun rapport sexuel avec mon mari depuis longtemps.

Il m’est impossible de lui en formuler plus : l’abstinence totale de notre couple depuis le deuxième mois de notre mariage, soit sept ans.

Période de la vie d’un humain durant laquelle les pulsions sexuelles sont une préoccupation pour ainsi dire centrale.

  • Je vais vous faire hospitaliser pour trois mois dans une clinique à Bandol ; là, je connais une nutritionniste qui a toute ma confiance, je vous prescrirai un régime strict que vous devrez suivre. Vous viendrez à Bichât pour que je vous fasse une prise en charge par la Sécurité sociale.

Et je rentre chez moi. J’irai à Bichât pour la prise en charge sécu où il indique le motif :

  • éloignement du domicile conjugal

et je pars pour Bandol rapidement.

Michel : le révélateur

Michel, juif-palestinien, mon amant Durant ces années de 1968 à 1970, politiquement, nous ne nous intéressons plus qu’à la Palestine. Nous participons à quelques réunions publiques. En 1969, je fais la connaissance de « Michel » nom clandestin d’un, comme il se définit lui-même, « juif-palestinien ». Qu’il est beau ! Nous craquons l’un pour … Lire la suite

Naissance de mon fils Jean-François Porchez le 4-12-1964

Le matin du 3 décembre je me réveille avec des contractions Tant qu’elles sont tout à fait supportables je continue à vaquer à mes occupations journalières, dont quelques courses. Et même le soir je me couche pour dormir comme si de rien n’était. Finalement je me relève quelques heures plus tard pour que Jean-Jacques me … Lire la suite

Plus jamais de sexualité avec Jean-Jacques Porchez mon mari

En Suisse je refuse tout contact sexuel avec Jean-Jacques Porchez De retour dans l’hôtel, il s’approcha de moi assise sur le rebord en bois du lit arrivant à la mi hauteur de mon corps, pour avoir un rapport sexuel avec moi, je le repoussais de mon pied en disant « non plus jamais ». Il … Lire la suite

Voyage en Suisse… avortement ? 03-1964

Ma famille ne se préoccupa plus jamais de moi Pour ma famille j’étais casée. Ils ne se préoccupèrent plus jamais de moi, s’en étaient-ils inquiétés avant sinon de la conservation de ma virginité, je voyageais avec eux à travers l’Italie, et le plus souvent me payant des vacances sans eux tels mes séjours en Angleterre, … Lire la suite

Enceinte par le viol de mon mari Jean-Jacques Porchez

Ainsi commença notre vie commune…

Je ne savais rien faire dans une maison

: ma mère ne m’avait rien appris, même pas faire cuire des carottes, car elle m’avait toujours interdite de rentrer dans la cuisine quand elle préparait les repas.

Ma sœur et ma mère se moquèrent de mon ignorance : comme si j’aurais du tout savoir faire par inspiration spontanée !

Armée d’un livre de cuisine j’appris pas à pas les bases de la cuisine quotidienne.

Le Viol

Un jour de fin février 1964, dans l’après-midi, moi occupée à quelque tache ménagère accroupie vers le sol, Jean-Jacques me tire par le poignée, je me rebiffe, contre ma volonté il me tire jusqu’au lit, m’y couche et me viole.

  • Je ne fais que dire « non, non, non » que pouvais-je faire d’autre ?

Son poids du double du mien m’écrasait.

N’était-ce pas, en quelque sorte, la même attitude que ma mère qui m’entrainait dans son lit contre ma volonté, à laquelle je n’avais même pas su dire « non » ?

  • Au moins là je sus dire « non ».

Quel sens avait ce « non » ?

Depuis plusieurs années je cochais sur mon agenda mes jours de fécondité. C’était ma manière d’exercer ma liberté sexuelle : je savais quand je pouvais accepter une relation sexuelle avec mes partenaires successifs ou à venir.

Le préservatif n’était pas envisagé et je ne connaissais pas d’autre moyen contraceptif.

  • Je savais une seule chose :
  • je n’envisageais pas d’avoir un enfant.

Étant donné que Jean-Jacques et moi n’avions jamais parlé de notre vie commune future, nous étions sur un malentendu :

  • De mon point de vue rien de changé dans ma vie, l’état d’épouse ne changeait rien.
  • Ne m’avait-il pas dit que nous étions dans l’obligation de nous marier pour ne pas choquer nos parents ?
  • Ne m’avait-il pas parler de liberté ?

Ainsi mon « non » avait plusieurs sens :

  1. je ne voulais pas de cette relation sexuelle qu’il m’imposait,
  2. et je savais être dans une période de fécondité.

Très vite je comprends que je suis enceinte :

mes règles sont absentes à la date prévue :

  1. J’étais réglée avec régularité tous les trente jours.
  2. Je vais consulter un médecin qui m’annonce : « comme une orange ».
  3. Je l’informe que je ne veux pas d’enfant.
  4. Il me prescrit des piqûres « pour faire revenir les règles ».
  5. La loi en vigueur oblige à la déclaration d’une grossesse auprès de sa mairie dès les premières semaines.
  6. Depuis le régime de Vichy l’avortement est déclaré crime contre la Sureté de l’État et passible, après jugement par les tribunaux d’exception, de la peine de mort.
  7. L’État veille à l’application de cette loi en surveillant que la grossesse d’une femme va jusqu’à son terme. La contraception est assimilé à l’avortement depuis 1920.

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Nota bene :

  • j’ai eu beaucoup de mal à écrire ce billet : révéler publiquement mon viol par mon mari n’a pas été facile, je ne l’avais dit que couché sur un divan de psychanalyse, en hurlant, tardivement, en 1985, date à laquelle j’entamais une analyse après la mort de ma mère morte en janvier 1985, je n’étais pas arrivé à entamer une psy avant sa mort…

Premier amour Jacques et découverte des camps nazis 1959-1963

Après plusieurs flirts, toujours innocents, gardant mon corps pour le mariage, comme était le non-dit de ma famille mais très ferme, je décidai de me séparer de cette virginité qui me paraissait encombrante, voici comment les événements s’enclenchèrent : Premier amour : Jacques Le premier homme qui compta dans ma vie fut Jacques Abran Il … Lire la suite

1959-1963 Mon avenir pour mes parents : femme au foyer

Année de sténo-dactylo en 1959 Pour attendre le futur mari, qui subviendrait à mon entretien quotidien, moi subvenant, comme ma mère, à l’entretien de « son » intérieur, de ses vêtements (mais l’avenir montrera que je n’avais aucune attirance ni dons pour cet état) mes parents m’inscrivirent dans une école de sténo dactylo pour apprendre le métier … Lire la suite

Premières règles à 16 3/4

Mes premières règles, tardives, hors la présence de ma mère Mes parents m’avaient confiée à une famille amie pour les grandes vacances. Le père était un ingénieur collaborateur de l’entreprise de mon père avec lequel mon père avait travaillé depuis avant la guerre, pendant la guerre, et jusqu’à son dépôt de bilan. Il était juif … Lire la suite

Ma mère soutient que les femmes n’ont pas de pulsions sexuelles

En contradiction avec elle-même ma mère qualifie mon père de « chaud lapin » ! Parallèlement à ses confidences sexuelles, se plaignant de ne plus rien ressentir et s’inquiétant pour la fidélité de son mari/mon père, ma mère m’affirme que les femmes n’ont aucune pulsion sexuelle, que ce ne sont que les hommes qui sont « atteint … Lire la suite

1959-1963 Lectures, Freud et ma dyslexie

Découverte de Freud

J’achetais mon premier livre de Freud sur le conseil d’une camarade de classe, elle même informée par son frère ainé. J’avais juste 18 ans.

Inverti ? non introverti !

Je me trouvais devant une énigme. Il y était question d’ « introverti« , tout au moins c’est ce que je lisais, alors qu’en fait il était question de l’ »inverti« ! Cela avait l’air « grave » je m’en inquiétais, car dans la famille on me qualifiait d’introvertie. Ma dyslexie me fit lire « introverti » à la place de « inverti » qui était écrit ! Il s’agissait de l’homosexualité dont je n’avais jamais entendu parler et ne connaissais même pas l’existence de cette préférence sexuelle ne sachant déjà rien sur la sexualité la plus courante entre fille et garçon !

Dyslexique si affamée de lecture je lis par la photo des mots entiers !

En effet je compris plus tard que je lisais par la « photographie » des mots, par leur « dessin » entier.

Mes employeurs me dirent durant des dizaines d’années :

  • vous faites des fautes parce que vous ne lisez pas,

Malheureusement je les crus longtemps, persuadée qu’eux lisaient bien plus que moi, renforçant ainsi mon complexe d’élève nulle ! …je finis pas comprendre que je lisais bien plus que tous ces juges, tenant une moyenne de 1 ou 2 livres par semaines, et pas des romans roses et peu de policiers, j’arrivais vite à plusieurs milliers de livres… je le vérifierai quand j’ouvrirai ma librairie !

C’est à l’occasion d’un livre se passant en Corée du Sud que je compris enfin comment je lisais (début des années 2000). Les noms propres étaient complexes à retenir pour une dyslexique, genre : Kim Dong-Hwa, Yoon-sun Park, Kun-woong Park, Ji-young Gong, avec des ressemblances que j’avais du mal à distinguer ; au début j’ai bien failli lâcher le livre, mais le livre était intéressant d’autant que je ne savais rien sur le Corée ! Voulant absolument m’y retrouver entre chacun des personnages ayant des noms semblables…

Je compris enfin comment j’avais toujours lu : mes yeux photographiaient les mots/noms entiers par leur dessin spécifique, je n’avais jamais lu par lettre et/ou syllabe, mais par chaque mot entier ! Voilà pourquoi je continuerai à faire des fautes, mais écrire sur ordinateur connecté à internet m’a changée la vie !

Freud et la psychanalyse m’ont ouverte et sauvé pour la vie

sigmund freud, by max halberstadt
sigmund freud, by max halberstadt

Au début je ne comprenais rien, mais j’ai su dès les premières phrases que « c’était ça » ! Puis j’embrayais sur Wilhelm Reich « à la mode » durant les années 1960-1970 par le biais des recherches de William Masters et Virginia Johnson très à la mode en France durant ce qu’on appelle « la révolution sexuelle« … je reparlerai de mes lectures dans des billets spécifiques.

Ma mère surveille mes lectures sans les comprendre !

Ma mère inspectait la bibliothèque de ma chambre pour faire un contrôle sur mes lectures. Tout comme elle le faisait dans mes tiroirs avec mon journal. Mais je m’arrêtais vite de l’écrire car un jour elle se dévoila en parlant à table d’un sujet me concernant qu’elle était sensé ignorer. J’arrêtais aussitôt de tenir ce journal.

Dans ma bibliothèque elle remarqua « L’amant de Lady Chatterley » qu’elle jugea inconvenant par ouï dire car elle ne le lut jamais. Cependant de mon point de vue j’en avais été très déçue car j’espérais y trouver quelques réponses à mes questionnements sur la sexualité alors que je n’y trouvais absolument aucune explication.

Je lis aussi Baudelaire et Victor Hugo et je dessine

Je faisais des dessins de paysages d’une tristesse infinie : arbres morts dans un environnement de neige ; je dessinais le visage de Baudelaire d’après une photo. Je trouvais son visage intéressant. J’admirais les dessins de Hugo.

les bulgraves de victor hugo delagrave 1946
les Bulgraves de Victor Hugo Delagrave 1946

et voici la photo de Baudelaire qui me fascinait et que j’ai reproduisis, mais je n’ai aucun exemplaire de cet essai de dessin, regrets !

portrait de charles baudelaire 1862 etienne carjat
portrait de Charles Baudelaire 1862  par Etienne Carjat

Pourquoi ce portrait me fascinait-il ? il est bon de se poser cette question, de plus je n’avais aucunement conscience qu’il n’avait « que » quarante ans, âge qui me paraissait déjà « vieux », en ayant 81 au moment où j’écris ce billet je vois comme la perception de l’âge est des plus relatifs !

… un peu plus tard je lisais tous les livres de Pearl Buck

pearl buck
Pearl Buck, prix Nobel

qui m’instruisit sur la Chine du 19ème siècle bien avant que cela devienne la « mode » chez les « gauchistes »

des années 1960-1970 !

Ma mère m’emmène dans sa chambre et son lit 1955-1960

Pendant cinq années ma mère m’entraina dans sa chambre le soir, dans son lit, durant les absences de mon père, pour que je lui tienne compagnie la nuit et que je remplace mon père. Les chantiers de mon père répartis en France et à l’étranger l’obligeaient à des absences constantes. Absent durant plusieurs jours du … Lire la suite

Ignorance de la sexualité pour une fille années 1950-1960

Mon ignorance totale des sexes et des rapports sexuels jusqu’à mes 18 ans Dans la famille il n’est pas question d’expliquer quelle est la différence entre un garçon et une fille. À l’école les garçons et les filles ne se côtoient pas du tout. Chacun dans une partie de l’école totalement étanche à l’autre. Les … Lire la suite

Confidences sexuelles incestueuses de ma mère 1954-1958

Ma mère me prend comme confidente de ses rapports sexuels avec mon père Parallèlement à ma vie si active (voir là et là), ma mère commença à me parler de sa sexualité, voici concrètement comment cela se passait : Pour sortir je devais descendre deux étages depuis ma chambre : le 2ème étage d’où je … Lire la suite